On est début septembre et Laurent , un copain ; m’invite à pêcher dans son plan d’eau pour le week-end. Le vendredi soir j’arrive tard sur les lieux et je dois m’installer en pleine nuit. Je décide de déposer mes montages en bordure avec très peu d’amorçage et vers 1h du matin tout est en place. Je peu enfin m’endormir. A 2h puis 10h du matin j’attrape 2 amours blancs de 12 et 13 kg sur la même canne avec une petite pop up BIG Z de 14mm. Puis vers 13h après avoir manger, je décide de me promener en bateau sur le plan d’eau pour rechercher d’autres spots que je ne pouvais trouver lors de mon arrivée en pleine nuit.
En m’approchant à proximité d’un arbre dans l’eau j’aperçois des fouilles de carpes ; aussitôt
je fais demi tour dans le plus grand silence pour rejoindre mon poste.
Immédiatement je prépare une canne eschée d’un bonhomme de neige, muni d’une petite chaussette soluble que je dépose avec la plus grande discrétion à proximité de l’arbre. A ma grande surprise, à peine 1 heure après avoir déposé ce montage s’en suit un départ violent. Le poisson se débat lourdement, et après 10 minutes de combat j’épuise une magnifique commune de 21kg. J’étais très content car il s’agit du plus gros poisson du plan d’eau. En début de soirée, je replace mes quatre cannes aux mêmes endroits en réamorçant très légèrement. Cette nuit là j’attrape de nouveau un amour blanc, un peu plus gros que les deux autres, toujours sur le même spot, avec le même montage.
Ce matin là, n’ayant pas attraper d’autre poisson, je décide d’aller prospecter la berge d’en face afin de discerner d’éventuelles carpes en quête de nourriture. Cette fois ci, je charge tout de suite dans le bateau , ma canne avec des appâts. Par chance ! A peine arrivé sur l’autre berge, je peux observer à nouveau, plusieurs carpes se nourrissant à seulement un mètre du bord. Je ne cherche pas à comprendre et dépose délicatement mon montage dans cette petite zone en ébullition. Vers 10h30, retenti un bip, puis un deuxième. C’est la canne que j’ai déposée sur la berge d’en face. Je m’empresse de ferrer et de débuter le combat. Malgré la distance qui nous sépare, le poisson oppose une grande résistance. Là c’est sur il ne s’agit pas d’un amour blanc ! Il m’est très difficile de contrer ces rushs, je comprends tout de suite qu’il s’agit d’un gros poisson. Après un bon quart d’heure de combat, le poisson se dirige dangereusement sur ma droite pour finalement se coincer dans un amas de branches et d’arbres noyés. Je monte alors rapidement dans le bateau sans oublier mon épuisette. Une fois sur place, il m’est impossible d’utiliser ma canne. Je saisi alors à pleine main ma tête de ligne en armure leader pour commencer à démêler. Après avoir suivi mon fil pendant au moins 5 minutes, j’aperçois vaguement parmi les branchages, prisonnier des obstacles, un gros poisson. Mon cœur bat de plus en plus fort. Les obstacles sont tellement denses que j’ai vraiment du mal à passer l’épuisette sous cette masse. Finalement après deux autres tentatives, j’épuise enfin une grosse commune. De retour sur la berge, je reconnais tout de suite qu’il s’agit du même poisson attrapé la veille. Je n’en reviens pas ! Les mêmes conditions : dépose des montages dans des fouilles ; avec le même montage ; la même présentation ; les mêmes appâts ; départ à peine une heure après ; et pour finir deux carpes le week-end mais deux fois le plus gros poisson du plan d’eau. Pas mal !
En m’approchant à proximité d’un arbre dans l’eau j’aperçois des fouilles de carpes ; aussitôt
je fais demi tour dans le plus grand silence pour rejoindre mon poste.
Immédiatement je prépare une canne eschée d’un bonhomme de neige, muni d’une petite chaussette soluble que je dépose avec la plus grande discrétion à proximité de l’arbre. A ma grande surprise, à peine 1 heure après avoir déposé ce montage s’en suit un départ violent. Le poisson se débat lourdement, et après 10 minutes de combat j’épuise une magnifique commune de 21kg. J’étais très content car il s’agit du plus gros poisson du plan d’eau. En début de soirée, je replace mes quatre cannes aux mêmes endroits en réamorçant très légèrement. Cette nuit là j’attrape de nouveau un amour blanc, un peu plus gros que les deux autres, toujours sur le même spot, avec le même montage.
Ce matin là, n’ayant pas attraper d’autre poisson, je décide d’aller prospecter la berge d’en face afin de discerner d’éventuelles carpes en quête de nourriture. Cette fois ci, je charge tout de suite dans le bateau , ma canne avec des appâts. Par chance ! A peine arrivé sur l’autre berge, je peux observer à nouveau, plusieurs carpes se nourrissant à seulement un mètre du bord. Je ne cherche pas à comprendre et dépose délicatement mon montage dans cette petite zone en ébullition. Vers 10h30, retenti un bip, puis un deuxième. C’est la canne que j’ai déposée sur la berge d’en face. Je m’empresse de ferrer et de débuter le combat. Malgré la distance qui nous sépare, le poisson oppose une grande résistance. Là c’est sur il ne s’agit pas d’un amour blanc ! Il m’est très difficile de contrer ces rushs, je comprends tout de suite qu’il s’agit d’un gros poisson. Après un bon quart d’heure de combat, le poisson se dirige dangereusement sur ma droite pour finalement se coincer dans un amas de branches et d’arbres noyés. Je monte alors rapidement dans le bateau sans oublier mon épuisette. Une fois sur place, il m’est impossible d’utiliser ma canne. Je saisi alors à pleine main ma tête de ligne en armure leader pour commencer à démêler. Après avoir suivi mon fil pendant au moins 5 minutes, j’aperçois vaguement parmi les branchages, prisonnier des obstacles, un gros poisson. Mon cœur bat de plus en plus fort. Les obstacles sont tellement denses que j’ai vraiment du mal à passer l’épuisette sous cette masse. Finalement après deux autres tentatives, j’épuise enfin une grosse commune. De retour sur la berge, je reconnais tout de suite qu’il s’agit du même poisson attrapé la veille. Je n’en reviens pas ! Les mêmes conditions : dépose des montages dans des fouilles ; avec le même montage ; la même présentation ; les mêmes appâts ; départ à peine une heure après ; et pour finir deux carpes le week-end mais deux fois le plus gros poisson du plan d’eau. Pas mal !
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